Nouvelles initiatives gouvernementales pour l’emploi des jeunes
Ce nouvel élan a été initié par le Président Emmanuel Macron le 14 juillet dernier. Au cœur de son plan de relance, il y a un désir profond de ne pas perdre la bataille de l’apprentissage, de l’alternance et de tous les contrats professionnalisants.
La pandémie a eu un impact significatif sur les jeunes actifs, rendant plus difficile pour eux de trouver un emploi stable. Pour tenter de renverser cette tendance, le gouvernement a mis en place plusieurs mesures, comme l’exonération exceptionnelle des charges pour les jeunes actifs rémunérés à 1,6 SMIC.
Mesures prometteuses pour l’avenir de l’emploi des jeunes
Si le plan de relance porte ses fruits, les perspectives d’emploi pour les jeunes pourraient s’améliorer considérablement. Une des mesures phares est la création de 300 000 contrats d’insertion à l’échelle nationale. C’est un pas vers un avenir meilleur pour les jeunes actifs en France.
Cette mesure vise en particulier à soutenir les jeunes qui sont les plus éloignés de l’emploi. Ceux qui ont été exclus des contrats d’alternance (apprentissage ou professionnalisation) seront privilégiés. Ces contrats d’insertion (CDI) sont destinés aux demandeurs d’emploi en difficulté, leur offrant une meilleure chance de retrouver une situation professionnelle stable.
- Exonération exceptionnelle des charges pour les jeunes actifs rémunérés à 1,6 SMIC
- Création de 300 000 contrats d’insertion à l’échelle nationale
- Création de 100 000 missions de services civiques supplémentaires
- Ouverture de 200 000 places dans le cadre des formations qualifiantes supérieures
Autres stratégies du gouvernement pour stimuler l’emploi des jeunes
Le plan de relance du gouvernement ne s’arrête pas là. Il prévoit également la création de 100 000 missions de services civiques supplémentaires, en plus des 140 000 existantes. Cette initiative vise à développer les compétences professionnelles des jeunes, et est prévue pour être mise en œuvre au cours des six prochains mois.
Le Service civique, qui est ouvert aux jeunes de 16 à 25 ans (jusqu’à 30 ans en cas de situation de handicap), offre une indemnisation et une expérience précieuse dans une mission d’intérêt général, sans condition de diplômes. Enfin, le gouvernement envisage d’ouvrir 200 000 places supplémentaires dans des formations qualifiantes supérieures pour ceux dont les études devaient se terminer en 2020. Cela permettra à ces étudiants de prolonger leurs études pendant un semestre supplémentaire avec un accompagnement social.